• Football: Fabrice Ondoua renvoyé de son club pour avoir organisé une fête

    Auteur : Marie Claude | 15 décembre 2020 | 2 020 vues

Le club belge KV Ostende vient juste de résilié le contrat du gardien de but camerounais Fabrice Ondoua. Le gars est donc au quartier, sans emploi à mbeng.

Ça a cuit sur Fabrice Ondoua. Le footballeur est désormais au chômage. Il vient d’être simplement renvoyé de son club belge KV Ostende. La raison est simple: Ondoua aurait organisé une « lockdown party ». Manière douce de dire une fête clandestine et dépravée. La police belge a reçu un appel dans la nuit de samedi à dimanche pour nuisances sonores. Et le sons provenait de chez notre footballeur. Les policiers ont immédiatement débarquées chez lui et ont mis la main sur ceux qui participaient à la fête. Bon nombre ne respectaient pas les mesures barrières avec le corona qui se balade en mbeng là. 11 procès-verbaux ont été dressés sur le champ.

C’est donc tout ça qui a conduit Gauthier Ganaye, le dirigeant du club à renvoyé la star du ballon rond: « En tant que club de football, nous n’allons pas tolérer un tel comportement égoïste et irresponsable! Nous n’avons pas encore eu d’infection au Covid-19 et nous faisons tout pour que cela reste comme ça. C’est pourquoi nous rappelons sans cesse à nos joueurs leurs responsabilités. Nous sommes obligés d’engager une procédure de licenciement à l’encontre de Fabrice Ondoua« .

Mais de son côté, le champions d’Afrique 2017 Ondoua n’est pas d’accord avec cette décision et crie son innocence. Il a avoué que son club lui a envoyé une lettre de licenciement sans avoir d’abord écouté sa version des faits: « C’est scandaleux! S’ils avaient pris la peine de m’inviter à m’expliquer ils auraient compris que je n’ai rien à me reprocher. Je n’ai rien organiser du tout, et ce n’était sûrement pas une « lockdown party ». Les termes sont importants dans la vie… » a-t-il écrit.

On ne sait donc pas au final s’il a organisé une fête ou pas. Mais pour l’instant il est bien au chômage. Affaire à suivre…

Marie Claude


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